« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie». Confucius
A la recherche de ma Raison d’Être
Il y a 3 ans exactement, j’ai travaillé avec une coach sur ma « Raison d’Être », sur ce que j’imagine de la vie et ce qui est important pour moi.
Cette coach usait de certaines techniques et d’une technicité certaine. Elle alliait des méthodes de coaching, à des exercices de yoga et à la méditation pour me permettre de lâcher prise et d’explorer mes aspirations les plus profondes.
Ce qui est ressorti de cette immersion dans mon Être a été une véritable révélation pour moi. Ce que j’ai défini alors est que je souhaite du plus profond de mon cœur apprendre aux personnes à communiquer pour prévenir les conflits.
J’avais la conviction qu’une communication basée sur la bienveillance permettait d’avoir des relations harmonieuses. Je sais aujourd’hui et j’en ai la conviction par mon expérience : une communication basée sur l’altérité permet de vivre ensemble et d’être libre.
Mon école : l’EPMN
Après un benchmark de différentes formations, j’ai fait le choix de l’EPMN.
E. . P. M. N : Ecole Professionnelle de la Médiation et de la Négociation.
EPMN, école jalousée.
EPMN, école décriée.
EPMN parfois mise de côté.
EPMN, l’école qui a changé ma vie, ma façon de voir les relations et celle de voir le Monde.
On nous dit que le confit est une fatalité. Il n’en est rien.
On nous dit que changer sa façon de communiquer est impossible. Il n’en est rien.
On nous dit que changer sa façon de se comporter est impossible. Il n’en est rien.
Changer sa façon de penser serait impossible. C’est totalement faux.
Les outils d’Ingénierie Relationnelle
A l’EPMN, j’ai découvert les outils de l’ingénierie Relationnelle.
Je les utilise au quotidien et me délecte de leur efficacité.
Je les transmets au quotidien et me félicite de voir combien ils sont utiles aux autres.
Ils finissent par les mettre en œuvre eux-mêmes au quotidien et se rendent compte combien c’est agréable de sortir de la fatalité dans laquelle ils étaient enfermés.
Je les transmets au quotidien et c’est mon métier. Depuis, je n’ai plus du tout l’impression de travailler.
